SHE Spells Doom - Neon Death EP - 03/05/2019
“J’ai la chance d’avoir vécu sur deux continents (Afrique et Europe), ça a enrichit ma musique c’est clair”
Le label Monstart, basé entre Paris et Montpellier,est heureux d’annoncer la 15eme sortie du label, Neon Death, nouvel EP de SHE Spells Doom, le 3 mai 2019.
Avec le besoin de laisser s’exprimer un côté sombre, le projet SHE Spells Doom est né en 2012 de la confrontation entre l’Afrique et de l’Europe, via des influences Funk, Hip-hop et électroniques.
Après avoir quitté l’Afrique en tant que rappeur, Wamya se rend à Genève en 2008 et devient un grand fan de musique électronique. Huit ans plus tard, il revient sur sa terre natale et commence à mélanger toutes ses influences pour créer son propre univers.
She Spells Doom puise son inspiration autant dans les films de science fiction/horreur de Carpenter et Cronenberg que dans la modernité musicale de Timbaland et Missy Elliot, sans oublier la rumba et le soukous congolais qui l'accompagnent depuis ses plus jeunes années.
L’omniprésence de la musique dans son foyer familial et l’éclectisme de ses découvertes artistiques ont forgé le genre dans lequel il évolue aujourd’hui.
“Je dirais que mon style est posé, planant mais percutant. Quand j’ai commencé, c’était plutôt un mécanisme inconscient mais, au final, je me retrouvais souvent avec une ligne de synthés aériens posée sur des percussions lourdes. J’ai commencé à me rendre compte de ce point commun dans mes morceaux et j’ai récemment décidé de l’exploiter vraiment.
Je pense que d’être né à la fin des années 80 me donne l’avantage d’être capable d’apprécier à la fois les choses de mon époque mais aussi celles du paysage musical actuel parce que j’ai eu le privilège de voir les tendances changer en étant assez concerné pour les considérer. Aussi, j’ai la chance d’avoir vécu sur deux continents (Afrique et Europe), et ça enrichit ma musique c’est clair.”
Dans Neon Death, on peut entendre toutes ces influences spécifiques, comme un voyage à travers les différentes expériences de SHE Spells Doom : de sa réappropriation de la Gqom (Vega Tool) produite suite à une semaine passé au Studio Red Bull de Cape Town jusqu’aux sons atmosphériques (Afterlife II) qui laissent apparaître son goût pour construire des mélodies au delà des percussions.
“La plupart du temps mon but est de faire danser les gens mais j’utilise aussi ma musique pour laisser s’exprimer des parties de moi qui restent cachées normalement. J’aime que la musique reflète une certaine dichotomie. Après avoir été en contact avec Monstart depuis des années, je trouvais naturel de sortir Neon Death sur ce label, c’est le symbole d’une exploration personnelle et d’une envie de supporter une scène sous représentée ces 10 dernières années.”
Je pense que d’être né à la fin des années 80 me donne l’avantage d’être capable d’apprécier à la fois les choses de mon époque mais aussi celles du paysage musical actuel parce que j’ai eu le privilège de voir les tendances changer en étant assez concerné pour les considérer. Aussi, j’ai la chance d’avoir vécu sur deux continents (Afrique et Europe), et ça enrichit ma musique c’est clair.”
Dans Neon Death, on peut entendre toutes ces influences spécifiques, comme un voyage à travers les différentes expériences de SHE Spells Doom : de sa réappropriation de la Gqom (Vega Tool) produite suite à une semaine passé au Studio Red Bull de Cape Town jusqu’aux sons atmosphériques (Afterlife II) qui laissent apparaître son goût pour construire des mélodies au delà des percussions.
“La plupart du temps mon but est de faire danser les gens mais j’utilise aussi ma musique pour laisser s’exprimer des parties de moi qui restent cachées normalement. J’aime que la musique reflète une certaine dichotomie. Après avoir été en contact avec Monstart depuis des années, je trouvais naturel de sortir Neon Death sur ce label, c’est le symbole d’une exploration personnelle et d’une envie de supporter une scène sous représentée ces 10 dernières années.”